Marché aux violettes
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Un doux parfum fleuri
À partir du moment où la ville devient propriétaire du couvent des Jacobins en 1865, la réfectoire va avoir de multiples fonctions jusqu’en 1981 : salle de meeting pour les réunions politiques (1865), service de rationnement durant la 2nde guerre mondiale (1981), ateliers de décors du Théâtre du Capitole (1954 à 1981). Plus ponctuellement et durant la première moitié du XXe siècle, il sert également de marché aux violettes. Rappelons-le, la violette fut à Toulouse une industrie florissante qui à son âge d’or rassemble plus de 600 producteurs qui exportent leurs fleurs partout en Europe et jusqu’en Russie.
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